Réforme du décret de périnatalité : les puer excluent des discussions
Par communiqué, l’ANPDE déclare que c’est par la presse qu’elle apprend le lancement des travaux avec une première réunion de travail le vendredi 6 juillet 2018 à laquelle, malgré les multiples sollicitations ces derniers jours de l’association représentant les professionnels de la #petite enfance auprès du Ministère, aucun membre de la profession infirmière ne sera présent. Une décision, selon l’ANPDE, d’autant plus étonnante qu’à l’issue des ces réunions de travail, il sera question de fixer la composition des équipes soignantes et notamment le nombre d’infirmières puéricultrices en unité obstétrique, de néonatalogie, de réanimation néonatale et en soins intensifs néonataux. De plus, la révision de ce décret de périnalité doit également préciser les conditions d’#accueil des #parturientes, des #mères et des #nouveau-nés avec notamment l’aspect primordial favorisant la relation et le lien mère-enfants. L’ANPDE rappelle ici qu’il s’agit, à travers cette mission, du rôle majeur de l’infirmière puéricultrice. Aussi, est-il navrant que la DGOS dans son projet de décret fasse l’économie, de nouveau, du savoir-faire des professionnels dès lors qu’il s’agit de la profession infirmière. La DGOS a rappelé aux représentants de l’ANPDE que ces réunions étaient exclusivement réservées aux Collèges Nationaux professionnels. Si les collèges médicaux sont représentés, il est à déplorer l’absence de sollicitations tout à la fois de l’ANPDE et du Collège Infirmier Français (CIF) déplore l’ANPDE.